Gal Gadot sous protection policière après une vague de haine déclenchée par sa co-star dans "Blanche-Neige"
Rachel Zegler, sa partenaire à l'écran, est une fervente partisane de la cause palestinienne


Le dernier film de Disney, une adaptation en live-action de Blanche-Neige, est devenu le théâtre d'une série de tensions impliquant ses deux actrices principales, Gal Gadot et Rachel Zegler. Selon le magazine Variety, l'actrice israélienne a été placée sous surveillance renforcée après avoir reçu des menaces de mort, suite à une publication politique controversée de sa co-star.
L'origine de cette polémique remonte à août dernier, lorsque Rachel Zegler a partagé la bande-annonce du film sur les réseaux sociaux, accompagnée de la déclaration : "Et rappelez-vous toujours que la Palestine sera libérée." Cette publication a déclenché une vague de réactions extrêmes, conduisant les studios Disney à prendre des mesures de sécurité exceptionnelles. La firme a même été contraint d'engager un expert en médias sociaux pour surveiller le contenu de l'actrice et prévenir de nouvelles controverses.
Les relations entre Gal Gadot et Rachel Zegler sont au plus bas. Lors de la première du film à Los Angeles, les deux actrices étaient assises à deux rangées l'une de l'autre et ont évité les interviews conjointes.
Sur le plan commercial, le film est un désastre. Malgré un budget de production de 270 millions de dollars, Blanche-Neige n'a rapporté que 43 millions de dollars aux États-Unis lors de son premier week-end, et 87 millions de dollars dans le monde. De larges appels au boycott du long-métrage ont été lancés dans le monde arabe au prétexte que Gal Gadot a "servi dans l'armée d'occupation".